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Tome 1. Le grand mensonge du XXe siècle : La trahison militaire française 1940-2021

Mai - Juin 1940. Une trahison militaire française ouvre les portes de la France aux colonnes nazies. Sans cette trahison, Hitler était battu à la fois en Belgique et sur la Meuse et les 65 millions de victimes de la Seconde Guerre mondiale auraient été évitées. FICTION ?

Non… Simple relecture de la version officielle de la Bataille de France !

Les archives de la Bataille de France, enfin ouvertes en l’an 2000 après 60 années de secret, révèlent que le 10 mai 1940, alors que les troupes allemandes lançaient leur attaque à l’ouest, le haut-commandement allié connaissait depuis le mois de mars tous les détails du fameux plan « Manstein », y compris, depuis le 1er mai, le jour et l’heure de l’attaque.
Il savait également qu’Hitler alignait une armée deux fois moins importante en homme et en matériel, et n’avait que pour un mois d’essence et munitions.  
Ces données essentielles, totalement inconnues ou négligées des historiens pendant quatre-vingt ans, permit d’édifier une thèse à base de « hasards incompréhensibles », ou de « miracles », pour justifier « l’étrange défaite »
Théorie du « Blitzkrieg » aujourd’hui remise en question par ces nouvelles archives apportant toutes les preuves des nombreuses trahisons majeures subies sur le terrain par le général Gamelin, commandant en chef des armées alliées.  
Employant leurs propres écrits, Christian Greiner révèle les mensonges patents de certains hauts responsables militaires en charge de la bataille, en les comparant aux nouveaux documents et témoignages et aux plus récentes découvertes des meilleurs universitaires.

Un récit en forme d’enquête, sur l’une des plus étonnantes supercheries historiques de tous les temps…

Prix 29,50 €

Tome 2. Le grand mensonge du XXe siècle : Controverses sur quelques trahisons "oubliées" 10-14 mai 1940

Ce second volet de l’enquête menée sur « l’étrange défaite » de mai-juin 1940, continue de mettre à mal les différents piliers de la version officielle, cette fois en s’en prenant à la réalité des rapports existant entre les Empires français et britanniques, puis en offrant au lecteur un premier tour « derrière le rideau » afin d’analyser les véritables enjeux économiques de l’entre-deux-guerres.

Et l’on découvre stupéfait : D’une part que tous les grands cartels américains et européens, y compris français, participèrent au réarmement de l’Allemagne nazie, et que l’animosité était sans doute bien pire entre alliés qu’à l’égard d’Hitler. Que personne ne semble avoir vraiment eu envie de voir le Reich perdre la guerre, puisqu’une défaite allemande aurait signifié une progression du communisme en Europe, et la fin d’une campagne attendue contre l’URSS.

Dans la seconde partie, l’auteur analyse l’excellent plan Dyle-Breda, censé avoir été à l’origine de la défaite alliée, et révèle qu’il ne fut si décrié que pour mieux camoufler son sabotage. Il y démontre que, contrairement à la version imposée par les États concernés, le général Gamelin, loin d’avoir été inactif et comme « stupéfait » par la tactique allemande, attendait de pied ferme que les meilleures divisions blindées du général von Kleist tombent dans le piège qu’il leur avait tendu dans les Ardennes. Que ses avions attendaient les appareils allemands parmi lesquels ils provoquèrent une hécatombe dès les premières heures de la bataille, et que les premières troupes d’assaut françaises étaient déjà embarquées depuis le 8 mai pour occuper les îles de Zélande.

Pour établir son propos, l’auteur a choisi de confronter les éléments présentés par les partisans de la théorie du Blitzkrieg avec certains documents et témoignages pourtant bien connus de tous depuis 1940, mais totalement mis à l’écart par ces mêmes historiens.

Parallèlement, rendant compte des travaux menés depuis l’année 2000, date d’ouverture des archives de la bataille, il dénonce la poursuite de cette désinformation volontaire, aboutissant finalement à la conclusion que, de censure en censure, et « Contrairement à toute logique, l’Histoire régresse ! »

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Tome 3. Le grand mensonge du XXe siècle : "Miracles" sur la Meuse 13-14 mai 1940

Après avoir pu progresser pendant trois jours sans être bombardé, le groupement von Kleist, fer de lance de l’armée allemande, parvenait devant la Meuse. C’est à cet endroit, alors qu’il était empêtré avec ses Panzer au milieu des Ardennes, totalement à la merci des canons français, que le généralissime Gamelin avait choisi de lui tendre un piège en stationnant non loin plusieurs divisions de premier ordre, dont trois cuirassées.

Manœuvre parfaitement conçue mais qui allait pourtant se retourner contre lui, puisque le 13 mai le général français Huntziger, commandant la IIe armée, ordonnait le retrait des troupes tenant les rives et stoppait l’arrivée de ces renforts.          

Ces ordres de retrait, passés à l’encontre de ceux du général Gamelin et sans l’en avertir, furent couverts devant l’Histoire par la légende des « Panzer volants » de Bulson, selon laquelle les 3 divisions de première ligne et tous ces puissants renforts se seraient enfuis devant quelques chars allemands qui auraient pu passer la Meuse de Sedan dans l’après-midi du 13 mai. Ceci alors que tous les ponts avaient été détruits et que les premiers ne pourront la franchir que le lendemain 14 mai à 7 heures.

En réalité, les archives révèlent qu’une dizaine de chars français des « sections spéciales » cagoulardes se trouvaient bien sur la rive française et qu’ils ont détruit les blockhaus d’artillerie en les prenant à revers dès 12h30 le 13 mai. Que grâce à leur action les premiers éclaireurs allemands purent franchir le fleuve sur quelques radeaux en caoutchouc puis mener leurs premières attaques contre les forteresses françaises souvent déjà détruites et désertes.

Autre trahison d’envergure : Le lendemain 14 mai, sur le front de la IXe armée à hauteur de la Meuse de Givet, le général cagoulard Martin, commandant le 11ème corps d’armée, ordonnait un retrait semblable, toujours à l’encontre des ordres et sans en avertir le général Gamelin, interrompant la contre-attaque prévue par le général républicain Corap et livrant à la destruction la 1ère Division Cuirassée française, isolée à l’avant de ses lignes, privée de tout soutien et d’approvisionnement en essence. 

Enfin, au cours de ces deux jours cruciaux, les chasseurs et les bombardiers français restèrent cloués au sol, sur ordre du haut commandement de l’Air.

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Tome 4. Le grand mensonge du XXe siècle : "Blitzkrieg" ou conte de fées ? 14 et 15 mai 1940

En abordant le quatrième volet de son enquête Christian Greiner commence par donner quelques-unes des clefs du mensonge d’État qui permit si longtemps d’abuser les historiens.

Puis, dans la seconde partie, il analyse en détail les différentes trahisons qui allaient, entre le 10 et le 15 mai, permettre la destruction totale ou partielle des trois Divisions cuirassées françaises.

Enfin il nous ramène à la nuit du 14 au 15, au cours de laquelle les généraux Georges et Billotte vont ordonner, sans raison, un retrait général de toutes les forces alliées installées en position de force sur la ligne de la Dyle, en Belgique.

Cet ordre, allant toujours à l’encontre des instructions formelles du généralissime, précipitera ces armées dans la pagaille générale qui amènera la défaite. 

Là encore l’auteur démontre, toutes nouvelles archives à l’appui, que le prétexte invoqué jusqu’ici pour justifier cet ordre catastrophique ne fut qu’une habile supercherie basée à la fois sur de faux témoignages et un invraisemblable montage chronologique, aux seules fins d’établir la responsabilité du général Corap et d’innocenter les généraux Georges et Huntziger, principaux responsables de la défaite.

Une nouvelle enquête pleine de rebondissements spectaculaires, décrivant les trahisons mises en œuvre entre le 14 et le 15 mai, qui laissera sans doute le lecteur stupéfait, mais avide d’en savoir plus…

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Tome 5. Le grand mensonge du XXe siècle : Les poubelles d'une bataille 15-19 mai 1940

Le 15 mai 1940, le général von Kleist s’engage dans une course à la mer, afin de cerner les armées alliées engagées en Belgique. Le général Gamelin, parfaitement informé de la situation, réagit dès le 13 mai au soir et commence dès le lendemain à appliquer le plan conçu après l’échec de son piège tendu sur la Meuse. Il s’agit cette fois de « pincer » les Panzerdivisionen entre les forces alliées du Nord et celles du Sud.

Dans cette nouvelle phase de ses investigations, l’auteur commence par faire le point sur ce que savait réellement le général Gamelin quant aux trahisons dont il fut victime et sur la manière dont il réagit, avant d’en venir à cet autre « mystère » de la Bataille de France : La disparition soudaine - et toujours inexpliquée à ce jour - de plus des trois quart des chasseurs et bombardiers modernes qui auraient dû se trouver sur le front du Nord-est au cours de la bataille.

Puis il repasse « derrière le rideau » afin de rappeler les raisons de l’antagonisme profond existant entre les deux Empires français et britannique et les raisons économiques pour lesquelles certains des meilleurs officiers français voulurent ce retournement d’alliance.

Enfin, dans la troisième partie de son analyse, l’auteur nous donne les premiers indices du sabotage qui allait cette fois réduire à néant toutes les chances de rétablir une situation, déjà si compromises après l’échec de deux premiers « plans Gamelin ».

Une nouvelle plongée au cœur de la bataille, en suivant pas à pas les décisions prises par Gamelin et son bras droit le général Doumenc, comme celles de son second le général Georges. Mais également une confirmation des grands enjeux cachés

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Tome 6. Le grand mensonge du XXe siècle : La fin des mystères ? 10-19 mai 1940

Entre le 15 et le 19 mai, suite à l’échec de ses deux premiers plans, le général Gamelin en échafaude un troisième établissant trois lignes de front successives du nord au sud, sur différentes lignes d’eau. Il s’agit de laisser les Panzer avancer loin de tout soutien d’infanterie puis de se rabattre, toujours dans le but de les couper de leurs approvisionnements.

Ce plan sera saboté sur le terrain par quelques officiers qui, abandonnant sans combat les ponts qu’ils étaient censés défendre, permettront aux Allemands de franchir, sans grandement combattre, les deux premières lignes de front. Ces nouvelles « défaillances » sur le terrain étant toujours couvertes au plus haut niveau, par le général Georges.    

    
Pourtant, malgré ces trahisons à répétition, le plan Gamelin N°3 restait jouable.

Mais le 19 mai, jour où le généralissime ordonnait sa mise en œuvre, la plupart de ses ordres ne furent pas exécutés, faute d’avoir été transmis aux troupes.

Le soir même, Gamelin était limogé et apparaissait celui qui serait en charge de mener la trahison à bon terme : Le général Weygand…

En se penchant sur la personnalité du généralissime et de son second, le général Georges, l’auteur nous décrit très en détail les modalités du secret d’Etat qui allait faire de Gamelin le bouc émissaire d’une trahison qu’il avait tenté de contrer.


Il démontre qu’en 1956, suite au vol du Journal de marche du Cabinet Gamelin et des carnets personnels du généralissime le jour même de son décès par un officier envoyé par le ministre de la Défense, les historiens furent invités à maintenir le « secret de famille » autour de la trahison militaire.


Que cette omerta imposée par le gouvernement de Vichy fut respectée à la lettre par tous les gouvernements « républicains » qui lui succédèrent.

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Tome 7. Le Grand Mensonge du XXe siècle : Weygard part en guerre. 20 Mai - 26 Juin 1940

Le 7ème et dernier tome de cette enquête sur la trahison militaire de mai-juin 1940, nous permet de comprendre comment le général antirépublicain Weygand, qui succéda au général Gamelin, put en finir avec la résistance alliée, notamment en maintenant ses troupes inactives pendant près de cinq jours après sa nomination. Le but étant de provoquer l’extermination du Corps expéditionnaire britannique afin :

- De permettre au gouvernement français de signer une paix séparée rendue impossible depuis l’accord franco-anglais signé par le président Reynaud en mars 1940.

- D’offrir à Hitler la possibilité d’envahir l’Angleterre dans les meilleurs conditions.

- Enfin d’éliminer définitivement l’éternel rival britannique, opposant constant à l’unification européenne.

Dévoilant une nouvelle fois les innombrables malversations qui permirent de maintenir la version « miraculeuse »  du Blitzkrieg, l’auteur clos sa démonstration par une remise en question cinglante de la légitimité des plus hautes instances universitaires et médiatiques qui, pendant 80 ans, s’autorisèrent à mentir aux Peuples victimes de la barbarie de ce 20ème siècle.

La dernière phase d’une enquête sur la trahison militaire proprement dite qui, en amenant les ultimes précisions indispensables, devrait permettre au lecteur de se faire cette « intime conviction » sans laquelle toute théorie reste bonne à entendre, y compris celle basée sur l’illogisme le plus total…

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Collection "Pour quelques euros". La fable des Panzer volants

Tant il est vrai, comme le disait Hitler, que « plus le mensonge est gros, mieux il passe », peu ont autant impressionné les foules que la fable des « hallucinations de Bulson ».

Cette page haute en couleur du conte de fées officiel, servie par les traitres « cagoulards » qui ouvrirent les portes de la France aux colonnes allemandes en mai juin 1940, continue pourtant de nous être proposée presque quotidiennement tout au long de documentaires « apocalyptiques » soigneusement recolorés, et tient toujours une place de choix dans les librairies.

Or, les archives de la Bataille de France, enfin ouvertes en l’an 2 000 après 60 ans de secret puis étudiées en détail depuis 20 ans, démontrent que les trois divisions françaises en charge de défendre la Meuse de Sedan, ainsi que les puissants renforts en route pour les soutenir, n’ont pas déserté ce front le 13 mai à 17h30 devant l’apparition « miraculeuse » de quelques « Panzer volants » qui auraient survolé la Meuse pour atterrir sur la rive française. Mais suite à un ordre de repli général, donné à l’encontre de ceux du général Gamelin.

Que, faute de pont, aucun Panzer n’a pu franchir le fleuve avant 7h20, le lendemain 14 mai.
Qu’en réalité les chars signalés sur la rive droite étaient des chars français qui, le 13 mai à partir de 12h30, soutenus par les fantassins des « sections spéciales » cagoulardes, ont attaqué à revers les casemates et les positions d’artillerie françaises pour permettre aux premiers fantassins allemands de franchir la Meuse sur des radeaux de caoutchouc à 15 heures.

Ce second tome de la série Pour quelque euros résume le troisième tome de la série Le Grand Mensonge du 20ème siècle, dénonçant l’un des plus monstrueux crimes de la Bataille de France : Il n’y a jamais eu de « miracle » sur la Meuse, mais des Français qui tirèrent dans le dos d’autres Français, afin de permettre aux Panzerdivisionen de se dégager du piège que le généralissime des armées alliées leur avait tendu à Sedan.

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Collection "Pour quelques euros". Le jeu de guerre

Ce quatrième opus de la série Pour quelques euros, se penche sur les enjeux cachés des Première et Seconde guerres mondiales.
Enjeux économiques et impérialistes sans lesquels la trahison militaire française rentrerait dans la légende du Blitzkrieg, tel un énième élément « incompréhensible » de ce Second conflit.

Christian Greiner, dans cette introduction, nous permet d’appréhender une réalité fort différente, entièrement basée sur les intérêts particuliers défendus par chaque grand Empire et leurs cartels, au cours de ce « jeu de guerre ».

Un jeu à la base de toutes les sociétés humaines depuis le début de l’Humanité, et dont l’unique but est d’offrir aux puissants un pouvoir encore accru, tant financier que politique, et ceci quel que soit le prix en termes de destructions ou de vies humaines.

Une réalité que nous soupçonnons tous, mais qui fait peur.

Le grand intérêt de cet ouvrage est donc de nous éveiller à ces réalités en s’appuyant, non sur des théories ou des supputations, mais sur des archives, des témoignages d’époque et les travaux des meilleurs universitaires et intellectuels qui, depuis les années 1960, dénoncent chiffres et archives à l’appui, l’influence prépondérante des grands industriels et des banques internationales dans la préparation de toutes les guerres modernes.
En les reliant aux grands enjeux des années 1920 à 1940, il démontre que les généraux et hommes politiques français qui souhaitèrent un renversement d’alliance en 1939, puis organisèrent et mirent en œuvre la trahison militaire de mai-juin 1940, avaient sans doute d’excellentes raisons pour cela.

Des raisons non pas idéologiques, mais essentiellement économiques.

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Collection "Pour quelques euros". Nous sommes trahis

LA THÉORIE OFFICIELLE DU « BLITZKRIEG » REMISE EN CAUSE

Nous savons aujourd’hui qu’en mai-juin, 1940  le plan Allemand dit « Manstein » était connu des Alliés depuis le mois de mars. Que ceux-ci connaissaient précisément la date de l’attaque dix jours auparavant. Que les armées allemandes étaient bien plus faibles, en nombre et en qualité. Que les « invincibles » colonnes du Blitzkrieg ne disposaient que de vingt jours de munitions et d’essence. Enfin que « l’étrange défaite » française résulta d’une suite d’ordres de retraits allant à l’encontre de ceux donnés par le haut commandement, et non d’une panique due à une « hallucination collective » ayant entraîné à Sedan la débandade de trois divisions devant des Panzer fantômes.

Donc d’une trahison militaire…

Or, la thèse du Blitzkrieg toujours en vigueur en ce début de 21ème siècle affirme que la victoire allemande « serait en réalité due à trois facteurs principaux:
-  Des hasards incompréhensibles

-  Des erreurs incompréhensibles des Alliés

- Un non moins incompréhensible individualisme de quelques généraux « fonceurs » à la tête des divisions blindées et qui mirent non seulement les Alliés, mais également la direction allemande devant le fait accompli. »

K.H. Frieser 1940 Défaite française, victoire allemande - page 86

Ceci alors que tous les historiens adeptes de cette « théorie de l’Incompréhensible » savent pertinemment qu’elle fut entièrement bâtie sur les témoignages des généraux de Vichy - ceux-là même qui avaient trahis - et que les ouvrages censés l’établir furent tous rédigés avant l’ouverture des archives françaises de la bataille en l’an 2000. Donc en l’absence des documents les plus importants.

Ce résumé des sept premiers tomes de la série de quatorze traitant du Grand Mensonge du XXe siècle, permettra au lecteur d’appréhender les fondamentaux du mensonge d’État qui, pendant quatre-vingt ans, permit d’effacer cette trahison militaire que tant de combattants dénoncèrent, mais que les historiens ne pouvaient prouver faute d’archives.

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Collection "Pour quelques euros". Le Secret de Polichinelle

L’un des grands piliers de la théorie du Blitzkrieg reste le soi-disant « aveuglement » de l’état-major allié concernant les intentions d’Hitler.

Selon les historiens qui l’ont soutenue pendant quatre-vingt ans, le général Gamelin, commandant en chef les armées alliées, n’aurait tenu aucun compte des centaines d’informations précises et recoupées des meilleurs agents de tous les services de renseignements, qui pourtant l’avaient informé dès le mois de février 1940 de tous les détails du plan dit : « Manstein » que le Führer venait d’adopter.

Puis le 31 avril - soit dix jours à l’avance -  des dates et heure de l’attaque.

Cette attitude, pour le moins ahurissante, fut donc interprétée comme la preuve de « l’aboulie » du généralissime et de « l’impéritie » du haut commandement allié dans son ensemble.

Or, comment admettre que ces centaines d’informations parfaitement recoupées par les Services secrets de TOUS les pays concernés par cette agression allemande, aient pu tout simplement être ignorées de leurs hommes politiques et de leurs responsables militaires, alors qu’aucun historien n’ignore qu’ils leur avaient permis de remporter des victoires éclatantes au cours de la Première guerre mondiale, et que Winston Churchill, en tant que Ministre de la Guerre britannique, avait été à l’origine de la réforme de ses Services de Renseignements, et depuis leur avait toujours porté une très grande attention.

Qu’il était à ce titre un des hommes les mieux renseignés du monde.

En réalité, cette autre fable montrant tous les hommes politiques comme se désintéressant de ces informations de première importance, n’est qu’un des innombrables paravents destiné à dissimuler la trahison militaire qui allait saboter les différents plans établis par le général Gamelin au cours de la Bataille de France.

Et la ficelle était simple : Présenter, côté allié, tous les responsables de la bataille comme un ramassis de vieillards incompétents, et aveugles aux réalités d’une guerre moderne.

Soit une des innombrables propositions « incompréhensible » des théoriciens du Blitzkrieg …

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