Chacun aujourd’hui est bien conscient de la part prise par le mensonge et la désinformation dans nos sociétés. Mais sans pour autant avoir la possibilité de lutter contre cette tendance à la dissimulation de la part de nos « élites ».
On accepte donc qu’elle devienne part de notre quotidien faute de pouvoir démontrer les tenants et aboutissants de ces mensonges. De plus, toute tentative en ce sens se voit immédiatement opposer de sacrifier à une théorie complotiste.
Gigantesque fourre-tout censé offrir une réponse cohérente à toutes les questions.
L’argument historique
Or, l’unique complot dont les historiens aient la preuve en ce début de 21ème siècle est celui mené par certains trusts internationaux de provoquer la plupart des grands conflits du 20ème siècle : Première et Seconde Guerre mondiale, Guerre froide, puis toutes celles qui suivirent jusqu’à nos jours avec, comme bilan, 231 millions de victimes.
Ce qui n’est pas rien.
Cette évidence ne laissant plus place au doute après les travaux des universitaires anglo-saxons et des plus brillants intellectuels de la planète, il est étonnant de constater que ce complot ne soit pas plus commenté par les médias.
Le facteur déclenchant
À cette « curiosité », les Éditions du Mouton noir prétendent aujourd’hui apporter une explication basée sur les nouvelles archives de la Bataille de France, ouvertes en l’an 2000, après 60 ans de secret, puisque les travaux entrepris depuis par les historiens révisionnistes français révèlent enfin les quelques pièces manquantes depuis plus de quatre-vingt ans au « puzzle des Grands enjeux » :
La trahison militaire qui ouvrit les portes de la France en mai-Juin 1940 et le complot économico-politique qui y mena.
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