La trahison militaire française qu’on le veuille ou non change totalement notre vision du monde
Partant du principe qu’elle ne pouvait avoir été ignorée des Allemands qui en furent les bénéficiaires, ni de Anglais qui en furent les principales victimes, et pas plus des Belges, Hollandais, Danois, Italiens, ni même des Russes ou des Américains, directement concernés par tous les aspects économiques du complot qui amena cette trahison, comment comprendre que ces pays aient tous maintenus l'omerta pendant quatre-vingt-ans ?
Car mentir n’est pas servir !
Et c’est bien là que tout achoppe, puisque si ces gouvernements démocratiques censés être une "Gouvernance du Peuple par le Peuple" ont sacrifié à d’autres intérêts, en l’occurrence ceux de certains « puissants », voici qui donne les clés politiques du « monde de demain » dont chacun parle, mais dont personne ne sait comment l’aborder avant la fin annoncée de nos civilisations.
Ce qui nous a posé le problème de notre responsabilité, devant ces informations propres à déstabiliser le jeu politique...
C’est pourquoi, parfaitement conscients du bouleversement que provoquerait la révélation de cette trahison militaire, nous avons choisis de n’éditer que les très rares auteurs ayant œuvré à partir des nouvelles archives de la Bataille de France. Seules garantes d’une judicieuse analyse des faits historiques.
Un projet long et couteux
De plus, afin d’offrir au plus large public et aux universitaires la possibilité de prendre connaissance de tous les arguments, archives et témoignages disponibles après vingt années de travail, nous avons fait le choix d’éditer le même jour les sept premiers tomes de la Série : « Le Grand Mensonge du XXe siècle », ainsi que les premiers ouvrages d’Historiens ayant travaillé depuis vingt ans sur ces archives.
Décision inédite dans l’histoire de l’édition, nous ayant amené à soutenir pendant dix ans nos auteurs sans avoir la possibilité de vendre, donc d’assumer ces frais hors notre investissement personnel.
Il s’agissait d’éviter, dans la mesure du possible, toute controverse inutile en posant clairement toutes les preuves sur la table, afin d'ouvrir un débat constructif.
Notre action peut donc se concevoir comme une action citoyenne, visant à offrir à tous le moyen de se réapproprier une Histoire clairement confisquée par les États concernés par cette trahison.
Autre collection allant dans le même sens : « Les lanceurs d’alerte oubliés », dans laquelle vous découvrirez les ouvrages de certains historiens, hommes politiques et journalistes témoins de leur époque qui, dès 1910, commencèrent à alerter sur les véritables enjeux du XXe siècle. Non pas ceux idéologiques retenus par l’Histoire officielle, mais économiques, qui furent les véritables facteurs déclenchants.
Il s’agit de rééditer leurs textes et de les commenter. Ce qui permettra d’établir les liens existant entre les enjeux du 20ème siècle et ceux de ce début de 21ème. Car les rapports sont évidents.
Parallèlement, une troisième collection intitulée : « Pour quelques euros » proposera de courts ouvrages de synthèse résumant non seulement les grandes lignes de l’enquête sur la trahison militaire, mais également ses aspects économiques. Donc les liens évidents avec les hommes, qui dans l’ombre, ont tiré les ficelles.
Dans le même esprit de partage, nous éditerons avec nos partenaires de vente en ligne, les versions numériques offrant à prix très réduits ces informations essentielles à la compréhension de notre époque et des opportunités offertes par le « monde de demain ».
Notre engagement républicain
Enfin, afin de partager ces informations avec le plus large public :
1° Nous exposons les ouvrages d'auteurs révisionnistes qui ont choisi de s'auto-éditer. En cliquant sur l'icone La vitrine des auto-éditeurs, vous pourrez directement accéder à leur site et acheter leurs ouvrages sans que nous touchions le moindre pourcentage pour ce service.
2° Nous avons établi un partenariat avec le Forum des Historien en colère qui, par ses articles et sa chaîne YouTube, vous offrira gratuitement les mêmes informations.
Car nous estimons, qu’au-delà de toute préoccupations pécuniaires, elles sont un dû.
Que cet héritage, spolié pendant quatre-vingt ans, est un bien commun auquel chaque citoyen du monde a droit.