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Tome 7. Le Grand Mensonge du XXe siècle : Weygard part en guerre. 20 Mai - 26 Juin 1940

Le 7ème et dernier tome de cette enquête sur la trahison militaire de mai-juin 1940, nous permet de comprendre comment le général antirépublicain Weygand, qui succéda au général Gamelin, put en finir avec la résistance alliée, notamment en maintenant ses troupes inactives pendant près de cinq jours après sa nomination. Le but étant de provoquer l’extermination du Corps expéditionnaire britannique afin :

- De permettre au gouvernement français de signer une paix séparée rendue impossible depuis l’accord franco-anglais signé par le président Reynaud en mars 1940.

- D’offrir à Hitler la possibilité d’envahir l’Angleterre dans les meilleurs conditions.

- Enfin d’éliminer définitivement l’éternel rival britannique, opposant constant à l’unification européenne.

Dévoilant une nouvelle fois les innombrables malversations qui permirent de maintenir la version « miraculeuse »  du Blitzkrieg, l’auteur clos sa démonstration par une remise en question cinglante de la légitimité des plus hautes instances universitaires et médiatiques qui, pendant 80 ans, s’autorisèrent à mentir aux Peuples victimes de la barbarie de ce 20ème siècle.

La dernière phase d’une enquête sur la trahison militaire proprement dite qui, en amenant les ultimes précisions indispensables, devrait permettre au lecteur de se faire cette « intime conviction » sans laquelle toute théorie reste bonne à entendre, y compris celle basée sur l’illogisme le plus total…

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Prix 29,50 €

Collection "Pour quelques euros". La fable des Panzer volants

Tant il est vrai, comme le disait Hitler, que « plus le mensonge est gros, mieux il passe », peu ont autant impressionné les foules que la fable des « hallucinations de Bulson ».

Cette page haute en couleur du conte de fées officiel, servie par les traitres « cagoulards » qui ouvrirent les portes de la France aux colonnes allemandes en mai juin 1940, continue pourtant de nous être proposée presque quotidiennement tout au long de documentaires « apocalyptiques » soigneusement recolorés, et tient toujours une place de choix dans les librairies.

Or, les archives de la Bataille de France, enfin ouvertes en l’an 2 000 après 60 ans de secret puis étudiées en détail depuis 20 ans, démontrent que les trois divisions françaises en charge de défendre la Meuse de Sedan, ainsi que les puissants renforts en route pour les soutenir, n’ont pas déserté ce front le 13 mai à 17h30 devant l’apparition « miraculeuse » de quelques « Panzer volants » qui auraient survolé la Meuse pour atterrir sur la rive française. Mais suite à un ordre de repli général, donné à l’encontre de ceux du général Gamelin.

Que, faute de pont, aucun Panzer n’a pu franchir le fleuve avant 7h20, le lendemain 14 mai.
Qu’en réalité les chars signalés sur la rive droite étaient des chars français qui, le 13 mai à partir de 12h30, soutenus par les fantassins des « sections spéciales » cagoulardes, ont attaqué à revers les casemates et les positions d’artillerie françaises pour permettre aux premiers fantassins allemands de franchir la Meuse sur des radeaux de caoutchouc à 15 heures.

Ce second tome de la série Pour quelque euros résume le troisième tome de la série Le Grand Mensonge du 20ème siècle, dénonçant l’un des plus monstrueux crimes de la Bataille de France : Il n’y a jamais eu de « miracle » sur la Meuse, mais des Français qui tirèrent dans le dos d’autres Français, afin de permettre aux Panzerdivisionen de se dégager du piège que le généralissime des armées alliées leur avait tendu à Sedan.

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Collection "Pour quelques euros". Le Secret de Polichinelle

L’un des grands piliers de la théorie du Blitzkrieg reste le soi-disant « aveuglement » de l’état-major allié concernant les intentions d’Hitler.

Selon les historiens qui l’ont soutenue pendant quatre-vingt ans, le général Gamelin, commandant en chef les armées alliées, n’aurait tenu aucun compte des centaines d’informations précises et recoupées des meilleurs agents de tous les services de renseignements, qui pourtant l’avaient informé dès le mois de février 1940 de tous les détails du plan dit : « Manstein » que le Führer venait d’adopter.

Puis le 31 avril - soit dix jours à l’avance -  des dates et heure de l’attaque.

Cette attitude, pour le moins ahurissante, fut donc interprétée comme la preuve de « l’aboulie » du généralissime et de « l’impéritie » du haut commandement allié dans son ensemble.

Or, comment admettre que ces centaines d’informations parfaitement recoupées par les Services secrets de TOUS les pays concernés par cette agression allemande, aient pu tout simplement être ignorées de leurs hommes politiques et de leurs responsables militaires, alors qu’aucun historien n’ignore qu’ils leur avaient permis de remporter des victoires éclatantes au cours de la Première guerre mondiale, et que Winston Churchill, en tant que Ministre de la Guerre britannique, avait été à l’origine de la réforme de ses Services de Renseignements, et depuis leur avait toujours porté une très grande attention.

Qu’il était à ce titre un des hommes les mieux renseignés du monde.

En réalité, cette autre fable montrant tous les hommes politiques comme se désintéressant de ces informations de première importance, n’est qu’un des innombrables paravents destiné à dissimuler la trahison militaire qui allait saboter les différents plans établis par le général Gamelin au cours de la Bataille de France.

Et la ficelle était simple : Présenter, côté allié, tous les responsables de la bataille comme un ramassis de vieillards incompétents, et aveugles aux réalités d’une guerre moderne.

Soit une des innombrables propositions « incompréhensible » des théoriciens du Blitzkrieg …

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Arnaud Gillet. Les chars fantômes de Sedan

Nous avons accumulé pendant ces décennies des milliers de documents des armées allemandes et françaises. Sur la région de Sedan que nous avons scrutée dans le plus grand détail aussi bien sur terre que dans les airs, nous suivons ainsi mètre par mètre, minute par minute, toutes les unités.

Or à côté de ces troupes régulières franco-allemandes, nous découvrons, approfondissons et mettons en évidence une troisième force hostile aux soldats français. Nous avions envisagé un moment la possibilité d’une opération aéroportée allemande au cœur des lignes françaises. Or malgré nos milliers de documents analysés, rien ne décrit une telle opération à Sedan.

Quelle est, donc, l’origine de ces commandos et de ces chars « fantômes » hostiles aux soldats français qui répliquent bien volontiers aux canons antichars ?

Pour acheter cet ouvrage, veuillez vous rendre sur le site de vente de M. Arnaud Gillet : 

http://arnaudgillet.e-monsite.com/

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Tome 6. Le grand mensonge du XXe siècle : La fin des mystères ? 10-19 mai 1940

Entre le 15 et le 19 mai, suite à l’échec de ses deux premiers plans, le général Gamelin en échafaude un troisième établissant trois lignes de front successives du nord au sud, sur différentes lignes d’eau. Il s’agit de laisser les Panzer avancer loin de tout soutien d’infanterie puis de se rabattre, toujours dans le but de les couper de leurs approvisionnements.

Ce plan sera saboté sur le terrain par quelques officiers qui, abandonnant sans combat les ponts qu’ils étaient censés défendre, permettront aux Allemands de franchir, sans grandement combattre, les deux premières lignes de front. Ces nouvelles « défaillances » sur le terrain étant toujours couvertes au plus haut niveau, par le général Georges.    

    
Pourtant, malgré ces trahisons à répétition, le plan Gamelin N°3 restait jouable.

Mais le 19 mai, jour où le généralissime ordonnait sa mise en œuvre, la plupart de ses ordres ne furent pas exécutés, faute d’avoir été transmis aux troupes.

Le soir même, Gamelin était limogé et apparaissait celui qui serait en charge de mener la trahison à bon terme : Le général Weygand…

En se penchant sur la personnalité du généralissime et de son second, le général Georges, l’auteur nous décrit très en détail les modalités du secret d’Etat qui allait faire de Gamelin le bouc émissaire d’une trahison qu’il avait tenté de contrer.


Il démontre qu’en 1956, suite au vol du Journal de marche du Cabinet Gamelin et des carnets personnels du généralissime le jour même de son décès par un officier envoyé par le ministre de la Défense, les historiens furent invités à maintenir le « secret de famille » autour de la trahison militaire.


Que cette omerta imposée par le gouvernement de Vichy fut respectée à la lettre par tous les gouvernements « républicains » qui lui succédèrent.

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Les "traitres" de Sedan

L’histoire de la campagne de France de mai 1940 contient beaucoup d’énigmes, de mystères et même de graves contradictions. Si bien que certains soldats, très tôt, ont osé et dénoncé une possible trahison d’une partie du haut commandement en vue de renverser la république à la faveur d’un armistice prématuré. En approfondissant nos recherches pendant ces longues années et au fur et à mesure de nos stupéfiantes découvertes, le doute s’est incrusté pour devenir une certitude… En effet à Sedan à côté des troupes régulières françaises et allemandes que nous localisons mètre par mètre et suivons minute par minute, nous découvrons, approfondissons et mettons en évidence une troisième force hostile aux soldats français avec l’aide, excusez du peu, de quelques chars! Nos premiers réflexes se tournent sur des commandos allemands qui se sont infiltrés au cœur des lignes françaises et qui se sont emparés de véhicules blindés. Or malgré nos milliers de documents allemands analysés, rien ne transpire sur une telle opération secrète à Sedan alors que celle sur Niwi ou du fort d’Eben-Emael en Belgique jouissent d’une excellente publicité. Pourquoi alors un tel silence sur Sedan? En fait ce secret cache une réalité inavouable : un véritable tabou, une opération commando non pas allemande, mais française! Le silence radio est complet, absolu, inviolable… Qui peut avouer avoir tiré sur ces propres compatriotes…

Pour acheter cet ouvrage, veuillez vous rendre sur le site de vente de M. Arnaud Gillet : 

http://arnaudgillet.e-monsite.com/

Prix 40,00 €